PROPRETE

À l’image de la sécurité, la malpropreté s’est aggravée ces dernières années malgré un budget complémentaire de 2,4 millions d’euros. Le pari pris durant la dernière législature, d’améliorer la propreté publique, est un échec manifeste à l’échelle de l’ensemble des quartiers. Outre des moyens mal affectés, la gestion du département a
connu trop de défauts alors qu’une augmentation des impôts a été justifiée pour remettre à niveau la propreté dans notre commune. Si la gestion de ce département n’est pas
chose aisée, le fait qu’Anderlecht soit l’une des communes les plus sales de notre pays
est une honte qui pèse lourdement sur l’attractivité de notre commune. Outre les efforts de nettoyage, il faut également souligner que les objectifs de renforcement de la
répression ou de la sensibilisation à l’égard de la malpropreté n’ont pas non plus obtenu les résultats escomptés. Notre liste compte faire de cette problématique l’un des axes primordiaux de la prochaine législature.

1. Appliquer une tolérance zéro pour les incivilités et considérer les faits de flagrant délit de salissure, de dépôts clandestins, d’abandon de déjections canines, de jet de mégots et de crachats comme devant être sanctionnés avec la plus grande
sévérité.

2. Intensifier l’usage des caméras mobiles de surveillance pour identifier les flagrants délits de salissure.

3. Privilégier, dans les sanctions, les travaux d’intérêt général visant à réparer les dégâts, à nettoyer, à laver, à enlever les graffitis, à dépolluer, à cultiver, etc.

4. Intensifier la collaboration entre les services communaux et régionaux en charge de la propreté publique.

5. Procéder à une évaluation des moyens dévolus au service de la propreté publique pour mettre un terme aux gaspillages et aux erreurs de gestion.

6. Réhabiliter le service “commando blanc” chargé d’intervenir en urgence dans les cas de dépôts clandestins. À cet égard, la possibilité pour les citoyens d’alerter les services compétents via les réseaux sociaux ou via une application communale facilement utilisable doit être fortement encouragée.

7. Poursuivre les actions de collecte d’encombrants dans tous les quartiers via la déchetterie mobile tout en veillant à assurer une communication optimale à cet effet.

8. Investir dans une vaste campagne de dératisation pour toute la commune, y compris dans les parcs et les espaces verts.

9. Maintenir les poubelles publiques et mettre fin à la politique de suppression de celles-ci.

10. Mettre en place des poubelles intelligentes alimentées grâce à des panneaux solaires à l’instar de ce qui a été mis en place à la commune d’Ixelles. Ces corbeilles signalent électroniquement qu’elles sont pleines afin d’assurer une meilleure desserte. Ce système permet d’éviter des corbeilles débordantes.

11. Créer des composteurs publics là où ils n’engendreront aucune nuisance pour les riverains.

12. Développer les « ressourceries » pour la collecte des déchets encombrants, c’est à-dire des lieux de récupération, de réparation, de revalorisation au lieu de destruction.

13. Mettre en réseau informatique les avaloirs et fossés communaux afin de répertorier, d’inventorier les interventions nécessaires à leur entretien et de renforcer la fréquence des vidangeages en vue de réduire les risques d’inondations.

14. Densifier l’usage des bâtiments publics isolés (occuper davantage les infrastructures qui offrent de bonnes performances énergétiques), le cas échéant
en les rendant accessibles aux usagers externes (associations, entreprises).

15. Mettre en place un plan d’isolation et d’équipement en pompes à chaleur des bâtiments communaux. Dans ce cadre, réaliser un cadastre énergétique à partir des caractéristiques des bâtiments et des données récoltées par des capteurs numériques, afin de renforcer l’efficacité des travaux à réaliser et de prioriser les investissements.

16. Développer la gestion à distance (et intelligente) du chauffage des bâtiments communaux.

17. Recourir le plus possible à des matériaux biosourcés ou recyclés ou à faible empreinte carbone dans les projets de construction ou de rénovation de bâtiments communaux, mais aussi pour d’autres équipements et infrastructures (voirie, signalétique, etc.).

18. Envisager la construction de parkings publics permettant un usage multiple, par affectations différentes suivant les jours et les heures.

19. Décarboner progressivement le parc de véhicules de la commune. 

20. Veiller à intégrer un critère de consommation d’énergies décarbonées dans le plus grand nombre possible de marchés publics.

21. Nouer des partenariats avec des commerces et entreprises afin d’y installer des bornes de recharge accessibles au grand public, en dehors des heures d’ouverture.

PROPRETE

À l’image de la sécurité, la malpropreté s’est aggravée ces dernières années malgré un budget complémentaire de 2,4 millions d’euros. Le pari pris durant la dernière législature, d’améliorer la propreté publique, est un échec manifeste à l’échelle de l’ensemble des quartiers. Outre des moyens mal affectés, la gestion du département a
connu trop de défauts alors qu’une augmentation des impôts a été justifiée pour remettre à niveau la propreté dans notre commune. Si la gestion de ce département n’est pas
chose aisée, le fait qu’Anderlecht soit l’une des communes les plus sales de notre pays
est une honte qui pèse lourdement sur l’attractivité de notre commune. Outre les efforts de nettoyage, il faut également souligner que les objectifs de renforcement de la
répression ou de la sensibilisation à l’égard de la malpropreté n’ont pas non plus obtenu les résultats escomptés. Notre liste compte faire de cette problématique l’un des axes primordiaux de la prochaine législature.

1. Appliquer une tolérance zéro pour les incivilités et considérer les faits de flagrant délit de salissure, de dépôts clandestins, d’abandon de déjections canines, de jet de mégots et de crachats comme devant être sanctionnés avec la plus grande
sévérité.

2. Intensifier l’usage des caméras mobiles de surveillance pour identifier les flagrants délits de salissure.

3. Privilégier, dans les sanctions, les travaux d’intérêt général visant à réparer les dégâts, à nettoyer, à laver, à enlever les graffitis, à dépolluer, à cultiver, etc.

4. Intensifier la collaboration entre les services communaux et régionaux en charge de la propreté publique.

5. Procéder à une évaluation des moyens dévolus au service de la propreté publique pour mettre un terme aux gaspillages et aux erreurs de gestion.

6. Réhabiliter le service “commando blanc” chargé d’intervenir en urgence dans les cas de dépôts clandestins. À cet égard, la possibilité pour les citoyens d’alerter les services compétents via les réseaux sociaux ou via une application communale facilement utilisable doit être fortement encouragée.

7. Poursuivre les actions de collecte d’encombrants dans tous les quartiers via la déchetterie mobile tout en veillant à assurer une communication optimale à cet effet.

8. Investir dans une vaste campagne de dératisation pour toute la commune, y compris dans les parcs et les espaces verts.

9. Maintenir les poubelles publiques et mettre fin à la politique de suppression de celles-ci.

10. Mettre en place des poubelles intelligentes alimentées grâce à des panneaux solaires à l’instar de ce qui a été mis en place à la commune d’Ixelles. Ces corbeilles signalent électroniquement qu’elles sont pleines afin d’assurer une meilleure desserte. Ce système permet d’éviter des corbeilles débordantes.

11. Créer des composteurs publics là où ils n’engendreront aucune nuisance pour les riverains.

12. Développer les « ressourceries » pour la collecte des déchets encombrants, c’est à-dire des lieux de récupération, de réparation, de revalorisation au lieu de destruction.

13. Mettre en réseau informatique les avaloirs et fossés communaux afin de répertorier, d’inventorier les interventions nécessaires à leur entretien et de renforcer la fréquence des vidangeages en vue de réduire les risques d’inondations.

14. Densifier l’usage des bâtiments publics isolés (occuper davantage les infrastructures qui offrent de bonnes performances énergétiques), le cas échéant
en les rendant accessibles aux usagers externes (associations, entreprises).

15. Mettre en place un plan d’isolation et d’équipement en pompes à chaleur des bâtiments communaux. Dans ce cadre, réaliser un cadastre énergétique à partir des caractéristiques des bâtiments et des données récoltées par des capteurs numériques, afin de renforcer l’efficacité des travaux à réaliser et de prioriser les investissements.

16. Développer la gestion à distance (et intelligente) du chauffage des bâtiments communaux.

17. Recourir le plus possible à des matériaux biosourcés ou recyclés ou à faible empreinte carbone dans les projets de construction ou de rénovation de bâtiments communaux, mais aussi pour d’autres équipements et infrastructures (voirie, signalétique, etc.).

18. Envisager la construction de parkings publics permettant un usage multiple, par affectations différentes suivant les jours et les heures.

19. Décarboner progressivement le parc de véhicules de la commune. 

20. Veiller à intégrer un critère de consommation d’énergies décarbonées dans le plus grand nombre possible de marchés publics.

21. Nouer des partenariats avec des commerces et entreprises afin d’y installer des bornes de recharge accessibles au grand public, en dehors des heures d’ouverture.